History of the Pirates
August 21st, 2009 | Published in History
Formed in the wake of Bob Woolmer’s murder and the 2007 World Cup, Pirates of the St Lawrence quickly moved from the back alleys and greasy sports bars of Montreal to become the fastest growing cricket club in North America and the most multi-cultural cricket club in the world. Since our humble beginnings, we have welcomed more than 1,000 players of 84 nationalities – each with a common lust for beer and bbqs. We’ve introduced more than 4,000 school children to cricket across Montreal, developed the Snow Cricket World Cup, built one of the best grounds in North America and one of the top indoor centre’s in the world at Ministry of Cricket & Other Homeless Sports.
A majority of members arrived as impoverished immigrants from the Commonwealth in pursuit of dangerous Quebecoise girls. From Monday to Friday we are software salesmen, doctors and toilet cleaners but come the weekend, we are knights in white, living out childhood fantasies on the cricket field. But our greatest pride is our Canadian-born players. Though they do odd things, like switch hands mid-over, bowl without run-ups, munch sunflower seeds in the covers and hit a stump from anywhere on the field, these plucky Canucks, who’ve welcomed us to their country, are key as we strive to keep them off the streets and open cricket to the mainstream.
In May 2007, after using rubbish bags as stumps, we progressed to indoor cricket with a rubber ball in Westmount Park School gym. Each Monday evening, grown men and women could be seen holding hands and skipping as they got their cricket fix. Once a week was not enough, though, and soon we were playing Adastrian schoolboys in 30-over weeknight clashes on the mountain and being spanked out the park by 13-year-olds.
Inspired by Estonian ice cricket, we continued through the Arctic winter, resurrecting cricket on Île Sainte-Hélène (site of the first recorded match in Canada, in 1785) with our Snow Cricket World Cup. The tournament has since grown into a 6-team, 70 player international event that features on television news every year.
In spring 2008, after failing in our bid for an oval within the grounds of a psychiatric hospital, we stumbled upon our field of dreams. Situated between a world-famous Belgian chocolate factory and a volcano in the south shore, The Candy Fields was quickly transformed from Champlain seabed into one of the finest grounds in North America, fit for international cricket. Each week it draws visiting teams from New York, Connecticut, Ottawa, Vermont, Philadelphia, Boston and beyond.
In September 2015, Pirates opened one of the top indoor centres in the world, in central Montreal – the Ministry of Cricket & Other Homeless Sports.
Pirates of the St Lawrence is Montreal’s best and only social cricket club. It is the club for those who would not be playing cricket otherwise. If you thought you’d have to give up Gawd’s game when you moved to Quebec, think again.
Histoire des Pirates
Formé dans l’ombre de la mort de Bob Woolmer et de la coupe du monde de 2007, les Pirates du St-Laurent constituent le club de cricket se développant le plus vite en Amérique du nord ainsi que le club le plus multiculturel au monde. Depuis nos humbles débuts dans les ruelles et les bars sportifs louches de Montréal, et nous avons accueilli plus de 1,000 joueurs de 84 nationalités différentes – tous avec un goût commun pour le BBQ et la bière.
Plusieurs de nos membres sont des immigrants appauvris venu du Commonwealth et qui ont suivi de dangereuses québécoises jusqu’à Montréal. Du lundi au vendredi nous sommes dans vendeurs de logiciels, des médecins et des nettoyeurs de latrines, mais quand arrive le weekend, nous nous métamorphosons en chevaliers blancs vivant nos rêves d’enfant sur le terrain de cricket.
Le principal contingent du club est canadien. On peut les voir faire des choses bizarres comme changer de côté au milieu de leur tour au bâton, bowler sans prendre d’élan, manger des graines de tournesols dans les covers et démolir le wicket and lançant des frontières du terrain. Ces canadiens sont notre fierté et nous comptons sur eux pour ouvrir les portes du cricket à la conscience collective. Notre but avoué est de rendre le cricket le jeu de balle le plus populaire dans la province.
Après avoir utilisé des sacs de poubelle en guise de wicket, nous avons progressé à jouer avec une balle de caoutchouc dans le gymnase de l’école Westmount Park en mai 2007. Tous les lundi soirs, c’est l’endroit où l’on peut apercevoir des hommes sautiller comme des enfants lorsqu’ils reçoivent leur dose de cricket. Peu après, nous jouions contre les écoliers des Adastrians sur la montagne…et nous prenions des volées de la part de ces géants…de 13 ans!
Suivant l’inspiration du cricket sur glace d’Estonie, nous avons ressuscité le cricket sur l’Ile Ste-Hélène (site du 1er match disputé au Canada en 1785) avec la coupe du monde de cricket sur neige.
Au printemps 2008, après avoir essuyé un refus dans notre tentative pour s’installer un terrain dans un hôpital psychiatrique, nous sommes tombés sur un champ de rêve! Pris en étau entre une fabrique de chocolat et un volcan, le Candy Fields est le plus beau terrain du Québec. À toutes les semaines, il attire des équipes visiteuses venues d’aussi loin que New York, le Connecticut, Ottawa, le Vermont, Philadelphie, Boston et nombre d’autres.
Les Pirates du St-Laurent représente le meilleur, et le seul, club de cricket social de Montréal. C’est l’équipe idéale pour donne rune chance à ceux qui ne joueraient pas au cricket autrement. Si vous pensiez avoir renoncé au sport de Dieu lorsque vous avez déménagé au Québec, revoyez votre position!